Sommaire

2024

Babel, dessins de Denis Poughon

Des utopies graphiques pour vivre ensemble.

Denis Poughon s’intéresse, dans sa démarche de dessinateur, au mythe éternel de la Tour de Babel.

S’inspirant de l’architecture locale, qu’elle soit religieuse, militaire, industrielle ou civile, Denis Poughon a créé des utopies graphiques. D’Ambert à Saint-Eloy-les-Mines, de Besse à Thiers, en passant par Villeneuve-les-Cerfs, le Puy-de-Dôme est riche de bâtiments singuliers.
Son travail graphique a été l’occasion de rendre hommage à notre histoire et de poser une réflexion sur notre futur où le mélange de cultures est un des enjeux majeurs du bien vivre ensemble.
1500 visiteurs ont eu l'occasion d'une belle promenade au cœur de cette architecture onirique.

La sculpture massif central - Création filmique et musicale

Une histoire sociale et culturelle des premières circulations théâtrales dans le Massif 

Initié par Dominique Touzé, directeur artistique de la compagnie puydômoise Wakan Théâtre, le projet  Tréteaux dans le Massif s’est appuyé sur une recherche conduite depuis 2018 par trois historiens universitaires : Philippe Bourdin, Romuald Féret et Cyril Triolaire.

Ce projet pluridisciplinaire fait dialoguer chercheurs et artistes autour des circulations et mobilités professionnelles théâtrales à travers le Massif central entre 1759 et 1911.

Le Conseil départemental du Puy-de-Dôme a accueilli l'exposition "Tréteaux dans le Massif".

Une exposition sous la forme originale d’une sculpture vidéo réalisée par Anne-Sophie Emard et Pierre Levchin du Collectif Dersu & Uzala.

Cette sculpture est un massif était à contempler, à contourner, à visiter… Sa forme est inspirée du tracé du Massif central sur nos cartes topographiques. Sur ses hauteurs, s’élève un monolithe noir composé de 12 écrans qui projettent des images « ressuscitées » de la mémoire des théâtres et des compagnies qui animaient le Massif central aux XVIIIe et XIXe siècles.

Zoom sur les premières salles dans le Puy-de-Dôme : plusieurs panneaux présentaient au public les premiers théâtres puydomois, complétés par des documents d'archives.

Remarquables !

Avec Remarquables ! Trente artistes ont mis en lumière les femmes du cinéma.

Dans le cadre de la 21ème édition du Festival international du court métrage de Clermont-Ferrand, un collectif d’artistes — composé de dessinateurs, peintres, photographes, sculpteurs* — a planché sur le thème de la rétrospective du Festival intitulée INSOUMISES : portraits de femmes indociles.

L’exposition thématique autour du Festival du court métrage est l’un des grands rendez-vous annuels entre les artistes, le public et le Conseil départemental du Puy-de-Dôme. Depuis 1994, cet événement emblématique a rassemblé pas moins de 90 artistes puydômois et 20000 visiteurs !

Dans le cadre de l’édition 2024, une trentaine d’artistes se sont emparés de cette thématique particulière des femmes et du cinéma. Leur ambition : livrer au regard des spectateurs leur interprétation originale de ces femmes. Exceptionnelles, fières et engagées, aussi inspirées qu’inspirantes, elles ont marqué, marquent et... marqueront l’histoire du 7ème art.

Actrices, productrices, mais aussi inventrices et militantes.

Des femmes prodigieuses et surprenantes, souvent rebelles et indépendantes mais surtout talentueuses pour l’art et le cinéma.

L’exposition retraçait aussi le parcours de ces actrices hors du commun qui se sont engagées pour la planète, comme Mélanie Laurent, pour les droits des femmes et l'égalité entre les sexes comme Emma Watson et bien sûr Jane Fonda, féministe et militante pacifiste, notamment contre la guerre du Vietnam !

Outre l’occasion de découvrir une exposition collective d’art contemporain d’une grande richesse par la diversité des techniques présentées, le public a pu s'étonner par l’histoire atypique de ces actrices… des femmes puissantes qui pulvérisent les stéréotypes des photos glamour sur papier glacé.

Ils ont accepté de participé à REMARQUABLES !

Armando Alvès, Corinne Bompeix, Anne Calabuig, Brian Cougar, Jacques Curtil, Christophe Desrayaud, Eric Domalain, Jean-Sébastien Dubien, Camille Durand-Vimal, Franck Fiat, Flo-M, Julie Foucaud, Laurent Grangier, Christelle Guillet, Jean-Pierre Hérault, Ipiolo, Karine Joannet, Pierre Jourde, Jérémie Lefebvre, Antoine Lopez, Patrick Miramand, Miss Boll, Charline Montagné, Elia Papillon, Sandrine Pons, Marie-Noëlle Rolland, Gaël Le Rudulier, Marie-Christine Sartin, Angèle Spérius, Francois Val.

2023

Sculptures de Vladimir Skoda

Clermont-Ferrand Massif central 2028, la Ville de Clermont-Ferrand, le Département du Puy-de-Dôme, la Galerie Claire Gastaud et le Centre d’Art Contemporain d’intérêt national Le Creux de l’Enfer ont présenté l’exposition monographique de Vladimir Škoda Constellations dans différents lieux à Clermont-Ferrand et à Thiers.

L'exposition Explorations sphériques à la Chapelle des Cordeliers faisait partie de ce parcours permettant ainsi une approche complète et rétrospective du travail de Vladimír Škoda.

Le Conseil départemental du Puy-de-Dôme a accueilli le plus puydômois des artistes tchèques !

L’exposition présentée par le Conseil départemental à la Chapelle des Cordeliers a abordé la boule comme lieu d’investigation formel où se nouent les énergies telluriques et la mémoire du métal chauffé à cœur.

Prélevées dans son atelier de La Monnerie-le-Montel ou issues de collections privées, les œuvres qui étaient présentées dans la Chapelle des Cordeliers variaient autour de la sphère par différentes approches, techniques, échelles formelles, réfléchissantes ou non.

Elles cohabitaient au sol comme autant de pistes exploratoires opérant de constants allers et retours entre le microscopique et le gigantesque, entre ce qui relève de la matière et ce qui semblerait s’en extraire.

L'installation était constituée d’une constellation de 21 éléments sphériques en acier forgé déployés au sol. Les sphères allaient d’un diamètre de 5 cm pour la plus petite à 35 cm pour la plus importante qui pèse près de 150 kg

Cette œuvre faisait écho à celle façonnée en 1985 pour le Symposium de sculpture monumentale métallique à Thiers.

Sous les voutes majestueuses de la Chapelle des Cordeliers, l’œuvre de Škoda a entrainé les visiteurs dans un moment de spiritualité.

Suspendu

Photographies de Ludovic Combe

Avec l'obtention du label Terre de Jeux, le Département du Puy-de-Dôme propose des opportunités culturelles, artistiques, sportives et patrimoniales pour faire découvrir la richesse de son territoire, procurer des émotions et créer des souvenirs au plus grand nombre. On y retrouve toute la philosophie de l’olympisme : l’harmonie du corps et de l’esprit.

De juillet à octobre 2023, le Conseil départemental du Puy-de-Dôme a présenté une vingtaine de clichés grand-format du photographe Ludovic Combe au parc Bargoin à Chamalières.
Intitulée « Suspendu », cette exposition exalte l’univers du sport sous un aspect inattendu. Le geste sportif est magnifié pardes photos qui captent de fugitifs instants de vie : mouvements en suspens, portraits, objets… Le regard de Ludovic Combe nous plonge dans l’intime des sportifs, presqu’en contre-pied de l’effort, de l’action et de la performance. Ses images en noir et blanc se détachent sur fond de verdure et attirent le regard.

Ces instantanés de la vie d’un sportif allient art et sport dans une belle synergie. Même quand il s’agit du détail d’un arc, d’un cheval d’arçons, d’un simple casque ou… de deux mains qui s’unissent, Ludovic Combe offre une vision du sport peu conventionnelle, plus légère, « une respiration » selon ses mots.

L'échappée des artistes

Un peloton d'artistes puydomois pour célébrer la petite reine !

Du 20 juin au 13 juillet, l’Hôtel du Département a accueilli une exposition intitulée L’échappée des artistes. Cette exposition a rassemblé les œuvres de 24 artistes locaux autour d’un seul thème : le vélo. 

Les 855 visiteurs ont eu l'opportunité d'explorer un univers créatif où l'esthétique du cyclisme fusionne avec l’audace de l’art contemporain, à travers différents médias.

Pour célébrer le (Re) Tour au sommet du puy de Dôme, le Département a donc organisé diverses manifestations. L’échappée des artistes était l’avant-dernière étape avant la montée mythique du 9 juillet ! Le Conseil départemental a souhaité porter un regard artistique sur le cyclisme et la beauté de l'objet qui en est le symbole.

En réponse à un appel à candidatures, 24 artistes locaux ont été soigneusement sélectionnés. L’exposition a permis au public de découvrir une quarantaine d'œuvres originales qui témoignent de la passion pour la bicyclette et de son influence sur l'imaginaire des artistes. Les visiteurs auront ainsi l'opportunité de découvrir une grande diversité d'expressions artistiques, allant du dessin à la photographie, en passant par la sculpture, la peinture ou encore la gravure.

Certaines œuvres capturent l'essence même des compétitions cyclistes. Elles offrent aux spectateurs la possibilité de ressentir l'adrénaline des courses et de se replonger dans ces moments mémorables vécus lors des compétitions, avant le début du Tour.

Depuis son invention au XIXe siècle, le vélo a dépassé sa fonction de simple moyen de transport. Il a fasciné les artistes, les inspirant à explorer de nouveaux horizons et à repousser les limites de l'expression artistique. On se souvient entre autres de Pablo Picasso avec Tête de taureau, de Marcel Duchamp avec Roue de bicyclette, de Fernand Léger avec Les quatre cyclistes ou encore de Robert Doisneau et son célèbre Vélo de Tati!

 

Vision réaliste ou sublimée de la petite reine, nos artistes puydômois se sont mis en selle !

Vies volée, vies rêvées - sculptures de Sandrine Plante

Vies volées, vies rêvées - Sculptures de Sandrine Plante

Du 4 avril au 10 juin 2023, le Département du Puy-de-Dôme a accueilli l’exposition Vies volées, Vies rêvées, de Sandrine Plante, sculpteur de renommée internationale.

C'était sa première exposition monographique et le public est venu en masse pour découvrir "en vrai" son travail. Enorme succès avec 4 241 visiteurs (dont 221 scolaires). Visiteurs venus de toute la France (l'artiste a de nombreux followers qui attendaient cette exposition) et même de l'étranger.

10 semaines d'exposition dans la chapelle des Cordeliers a été un écrin magnifique pour sublimer mon travail. j'ai actuellement des sculptures dans de nombreux lieux de mémoire prestigieux et musées et cependant cette expérience est une belles expériences de ma vie. Sandrine Plante 

C’est dans son atelier à Billom, que l’artiste se consacre à la mission qu’elle s’est fixée à travers son art : un devoir de mémoire, afin que jamais le passé ne soit oublié.

Au fil de ses œuvres, Sandrine Plante raconte l’histoire de l’Afrique, berceau de l’humanité. L’exposition regroupe une quarantaine de sculptures en résine acrylique et deux œuvres en terre cuite. Les spectateurs auront également la chance d’admirer une œuvre inédite, spécialement dévoilée pour l’occasion.

À travers leurs expressions figées dans la matière, les statues de Sandrine Plante vivent et ressentent, mais surtout témoignent du vécu de ses ancêtres d’Afrique. Ni modèle, ni dessin, ni gravure à la base de ses œuvres : une inspiration onirique fondée sur les visages de ceux qui la visitent dans ses rêves.

De ses mains, elle modèle la terre pour mieux creuser leur passé. Suivant la chronologie historique, elle fait revivre ceux qui ont trop longtemps été oubliés : en commençant par les féticheurs, les guérisseurs, et les nomades, en passant par les esclaves, pour terminer par les hommes modernes…

Ses créations à taille humaine s’avèrent d’un réalisme impressionnant. Elles interpellent le spectateur, lui contant l’histoire de ces vies volées, que l’artiste a croisées en rêve.

Vies volées, car je suis en quelque sorte un “porte-parole” pour tous ces gens dont la vie a été volée et je me considère comme chanceuse de pouvoir m’exprimer et vivre libre. Vies rêvées, car j’attends la nuit et dans mes rêves, je vois mes créations et je les réalise. » Sandrine Plante

Sandrine Plante est reconnue dans le monde entier à en juger par les acquisitions au Legacy Museum, mémorial de l’esclavage, en Alabama (États-Unis), à la maison des esclaves sur l’Île de Gorée (Sénégal), au musée de Villèle à la Réunion ou encore par la Ville de Bordeaux.

Gestes - Photographies de Nicolas Anglade

Un regard personnel sur des savoir-faire ancestraux.

Du 8 avril au 25 juin 2023, à travers son exposition Gestes, le photographe puydômois Nicolas Anglade invite les visiteurs du Parc Bargoin, à une balade visuelle en plein cœur du territoire puydômois.
Au programme, la découverte des gestes professionnels réalisés chaque jour par des agriculteurs, des artisans et des ouvriers. Paysages agricoles, scènes du quotidien, mouvements suspendus et portraits de travailleurs…
Les photographies de l'artiste immortalisent la vie de parfaits inconnus. Des gestes minutieux, des détails insolites, un regard très personnel, une situation saisie au vol… Rien n’échappe à son œil expert et à son appareil.

Fruit de rencontres avec de nombreux acteurs du monde rural et ouvrier, l’archive photographique réalisée par Nicolas Anglade est unique. A travers 18 prises de vue en couleur, l’artiste met en lumière, avec humanité et bienveillance, le travail de ceux qui sont trop souvent laissés dans l’ombre. « Je m’immisce dans ce théâtre rural régulièrement depuis quelques années. Je tente de l’approcher photographiquement de diverses manières et d’en ordonner une représentation qui donne à ressentir, plus qu’à illustrer... » Nicolas Anglade.

L’exposition regroupe des photos issues de séries personnelles de l’artiste, des photos prises durant sa résidence sur le territoire Plaine Limagne, et des reportages pour le magazine Auvernha. Le visiteur pourra aussi être surpris par ces images capturées en Pologne pour un projet de coopération, mené avec le SMAD des Combrailles, Les agriculteurs d’ici et d’ailleurs.

Les clichés présentés témoignent de l’admiration du photographe, pour ceux qui, selon lui, possèdent un savoir-faire ancestral qui traverse le temps et l’histoire humaine. Les tirages grands formats proposent au visiteur une immersion dans la vie de ces hommes et de ces femmes, visages pluriels, qui racontent la beauté et la précision du geste du travailleur.

Les Zèles du désir

Les Zèles du désir

Exposition collective dans le cadre du Court métrage

Chaque année durant le Festival international du court métrage de Clermont-Ferrand, il y a les films en compétition mais aussi des programmes thématiques et des rétrospectives. Pour la 45e édition du Festival, le thème de la rétrospective est Libido.

Le Collectif d’artistes a donc tout naturellement choisi de faire se rencontrer la libido et le cinéma. A vrai dire, ces deux-là sont faits l’un pour l’autre, le premier sachant avec malice s’exposer au voyeurisme du second.

Trente-sept plasticiens, peintres, illustrateurs, sculpteurs, photographes, bidouilleurs en tout genre, ont pris leurs désirs pour des réalités. Pour y parvenir certains ont caressé leurs pinceaux à poils, d’autres ont révisé leur camera sutra. Les artistes, sensibilité à fleur de peau oblige, ont ici un terrain de jeux unique que leur offre l’empire des sens.

Ce Collectif d’artistes fête, cette année, sa vingtième édition. Exceptionnelle longévité de cet évènement qui a vu passer, au fil du temps, 90 artistes puydômois. Certains sont là depuis le commencement, d’autres débutent leur participation, mais tous apportent leur talent qui a fait de cette exposition the place to be.

Entre septième ciel et septième art, Les zèles du désir s’offrent à la caresse de vos regards. N’hésitez pas à vous identifier à tous ces héros de cinéma morts de leur petite mort, vous partirez, comme eux, le sourire aux lèvres.

Liste des 37 artistes exposants (par prdre alphabétique) : Armando Alvès, Michel Bénier, Miss Boll, Anne Calabuig, Fabienne Cinquin, Jacques Curtil, Eric Domalain, Jean-Sébastien Dubien, Guy Durand, Camille Durand-Vimal, Franck Fiat, Flo-M, Julie Foucaud, Laurent Grangier, Christelle Guillet, Jean-Pierre Hérault, Greg Hitier, Ipiolo, Kadah, Karine Joannet, Pierre Jourde, Gaël Le Rudulier, Jérémie Lefebvre, Antoine Lopez, Loup Lopez, Allan Martel, Patrick Miramand, Charline Montagne, Amanda Peters, Josiane Pinel Debris, Jacques Pouillet, Sandrine Pons, Marie-Noëlle Rolland, Marie-Christine Sartin, Angèle Sperius, Nicolas de Vils.

Suspendu

Photographies de Ludovic Combe

Avec l'obtention du label Terre de Jeux, le Département du Puy-de-Dôme propose des opportunités culturelles, artistiques, sportives et patrimoniales pour faire découvrir la richesse de son territoire, procurer des émotions et créer des souvenirs au plus grand nombre. On y retrouve toute la philosophie de l’olympisme : l’harmonie du corps et de l’esprit.

Jusqu’au 22 octobre, le Conseil départemental du Puy-de-Dôme présente une vingtaine de clichés grand-format du photographe Ludovic Combe au parc Bargoin à Chamalières. Intitulée « Suspendu », cette exposition exalte l’univers du sport sous un aspect inattendu. Le geste sportif est magnifié pardes photos qui captent de fugitifs instants de vie : mouvements en suspens, portraits, objets… Le regard de Ludovic Combe nous plonge dans l’intime des sportifs, presqu’en contre-pied de l’effort, de l’action et de la performance. Ses images en noir et blanc se détachent sur fond de verdure et attirent le regard.

Ces instantanés de la vie d’un sportif allient art et sport dans une belle synergie. Même quand il s’agit du détail d’un arc, d’un cheval d’arçons, d’un simple casque ou… de deux mains qui s’unissent, Ludovic Combe offre une vision du sport peu conventionnelle, plus légère, « une respiration » selon ses mots.

2022

SINTUREL

Donner à voir ce que l’on ne voit pas. Telle est la mission du photographe Frédéric Sinturel, qui porte sur le monde un regard atypique. Avec sa série Puy-de-Nature, il vous invitait à la contemplation et à la rêverie. Au cœur du parc Bargoin, 18 photographies, réalisées de nuit, repoussaient les frontières de l’invisible et présentaient la nature comme vous ne l’avez jamais vue. 

Pour l’occasion, cet amoureux de la nature a réalisé une série de photos inédites d’arbres du parc Bargoin à Chamalières. 18 clichés grands formats — sans filtres ni retouches — se sont mêlés aux arbres centenaires et ont dévoilé la nature sous un angle nouveau.

Frédéric Sinturel est auteur-photographe depuis plus de 30 ans. Son style particulier bouleverse les notions d’espace-temps et les codes de la photographie traditionnelle. Ses clichés de nuit interpellent le spectateur. Lorsque le soleil laisse place à l’obscurité, la nature devient mystérieuse et dévoile les lumières secrètes de l’univers. Avec son appareil photo, cet artiste singulier réinvente ce que nous connaissons mais ne voyons pas !

Skate & Art

Skate & Art c’est la rencontre, le mélange, la fusion des arts de la rue. Skate, graff, breaking, tag… L’imaginaire n’a pas de limites !
Une exposition novatrice qui a plongé le spectateur dans une expérience immersive originale.

Huit artistes puydômois (Cofee, Keymi, Lâm, Motte, Nokat, Emilie Vasset, Antony Squizzato et le collectif End to End) ont réussi le pari fou de transformer ce médium de bois brut en toile vierge. Quand la richesse de l’art urbain rencontre le skate, cela donne naissance à huit triptyques colorés et majestueux aux courbes uniques. Affranchis de toutes contraintes artistiques, nos artistes ont laissé libre cours à l’imagination pour exprimer leur vision de la ville. Les skates peuvent être abordés comme un ensemble,ou comme une série thématique. Chaque artiste y impose son style, son univers.

Également présentées, des photographies de planches de skates, issues de l’exposition Spraying board : 11 quadriptyques peints par Bambi, Chufy ou encore Wenc, grands noms de la scène graff lyonnaise, et photographiés par Lionel Rault.

Skate & Art a aussi été l’occasion de mettre l’accent sur les disciplines additionnelles des Jeux Olympiques 2024, sous l’éclairage des arts plastiques. Des tableaux de Lucie Llong et des photographies de Jodie Way illustrent cette thématique en mettant en lumière la beauté du geste sportif.

Exposition organisée dans le cadre du Label Terre de jeux 2024.

Ø  Aujourd’hui en version itinérante allégée puis insérer le lien de la page en itinérance.

 

 

Être né quelque part

L’exposition Être né quelque part installée au Parc Bargoin emmenait les visiteurs à la rencontre des enfants du monde, sous l’objectif de Claude Poulet, photographe baroudeur, mis en lumière par le Département du Puy-de-Dôme.

Comment, sur les cinq continents, les enfants vivent-ils l’école, les jeux, le travail, les fêtes et les traditions ? Quand d’autres sont parfois confrontés à l’exil… Ces moments de la vie quotidienne capturés au hasard des expéditions de l’artiste nous disent la force et la vulnérabilité de l’enfance. Des instantanés à la saveur multiculturelle où l’on comprend tout le sens d’être né quelque part. Ses images puissantes captent des instants fugaces, des expressions universelles.

Les 15 photographies choisies pour être exposées constituent de véritables fenêtres sur le monde. À travers ses clichés, Claude Poulet propose un authentique miroir de la vie de ces enfants du monde, racontant leur courage, leur labeur, leur gaité, mais aussi leur fragilité. Une série de portraits intimes qui font écho aux droits des enfants dans le monde. L’exposition Être né quelque part reflète l’essence de l’enfance, sans retouches, ni filtres, seulement la réalité.

Danseurs & Toiles

En début d'année, le Hall René-Cassin a accueilli un collectif d’artistes qui s’empare, depuis plusieurs années, d’une thématique présentée au Festival international du court métrage.
Le double thème de l’année 2022 était la danse et le cinéma, deux arts qui ont pour point commun le mouvement des corps. Près d’une quarantaine de plasticiens, peintres, illustrateurs, sculpteurs, photographes, créateurs en tout genre du Puy-de-Dôme ont accepté d’entrer dans la danse.
" Black Sawn ", " Flash dance ", " Les chaussons rouges ", " Chantons sous la pluie ", " Le petit bal ", etc. les inspirations étaient nombreuses et les artistes ont revisité leur vision de ces célèbres films avec réalisme ou humour décalé.

 

 

Un train peut en cacher un autre

Le Panoramique des Dômes fête ses 10 ans ! À cette occasion, le Département et TC Dôme vous invitent à découvrir l'exposition " Un train peut en cacher un autre ", qui revient sur l’histoire de la montée au puy de Dôme.

2021

1871-2021 : l’Observatoire de Physique du Globe de Clermont-Ferrand fête ses 150 ans

L’année 2021 a marqué les 150 ans de la signature du décret donnant naissance à l’Observatoire du sommet du puy de Dôme !
Pour commémorer cet anniversaire, l’Observatoire de Physique du Globe de Clermont-Ferrand (OPGC) et ses partenaires ont proposé une exposition dévoilant une série de clichés du photographe Vincent Moncorgé, réalisées durant sa résidence d’artiste en immersion à l’OPGC entre janvier et octobre 2021. Des instruments scientifiques mettant en lumière l’évolution des instruments la fin du XIXe siècle à nos jours ont complété l’exposition.

Plaisirs sucrés du parc

Le Département s'engage chaque jour en faveur d'une agriculture de qualité, véritable atout pour notre qualité de vie mais aussi l'attractivité de notre territoire. Il s'est associé à l’association Puy Confit avec la conviction que notre patrimoine artisanal est une clé pour cultiver un goût prononcé pour les productions locales et valoriser le travail de nos agriculteurs en même temps que l'héritage de nos aïeux.
Amateurs de botanique et de sucreries, nous vous proposerons de découvrir cet été au fil de votre promenade, l’exposition Plaisirs sucrés du parc. La balade débute par un retour sur l'histoire du sucre et de la confiserie, longtemps réservés à un usage médical, puis se poursuit par une série de portraits consacrés aux différentes plantes et arbres à bonbons. Un « bonbonnier » a également été spécialement aménagé au cœur du parc pour découvrir des plantes utilisées dans la fabrication des bonbons.

Immersion

Le point de départ de ce projet est une enquête artistique, en immersion, initiée par le Département et menée à l’été 2019 par deux artistes (Sophie Berger, créatrice son et Guillaume Reynard, illustrateur) sur les bords du Lac Servières. Ce travail de terrain a donné lieu à une exposition présentant les 23 espaces naturels sensibles (ENS) du Département du Puy-de-Dôme.
Le lac Servières (exemple remarquable d’ENS) fait l’objet d’une attention particulière au cœur de cette exposition.
Quatre modules scénographiés, permettront au visiteur, par le biais d’un traitement sensible et humoristique par le dessin et le son, d’investir le champ de la réflexion sur nos usages personnels et notre impact sur les espaces naturels sensibles tout en étant plongé au cœur d’une expérience artistique immersive.

Fantaisies végétales

Photographies

Les 12 portraits végétaux présentés au cœur du parc Bargoin ont été conçus par un groupe d’adultes en parcours d’insertion de la Maison des solidarités de Billom et de la Régie de territoire des 2 Rives ainsi que deux classes de 5e du collège du Beffroi de Billom. Une initiative qui s’inscrit dans le cadre du projet d’éducation artistique et culturel (EAC) de territoire Si t’es jardin porté par Billom Communauté*.

Emmenés par les plasticiennes Claudia Urrutia et Marjolaine Werckmann, les participants ont réalisé les compositions ayant servi aux portraits en utilisant différents matériaux naturels : branches, herbes, minéraux… Ils ont ensuite posé sous l’objectif de la photographe Marielsa Niels pour immortaliser ces œuvres éphémères.

* Financé par la Drac, la Région et le Département.

De nombreuses actions de médiation en direction des familles et usagers des services sociaux ont été mises en place dans le cadre de cette exposition.

Figures de nature revient sur les créations artistiques des salariés de chantiers d’insertion de l’agglomération clermontoise.

Celle-ci sera en circulation dans les Maisons des Solidarités à l’automne prochain.

L'être est Etre

Sculptures de Laurent Sarpédon

La matière, Laurent Sarpédon la travaille depuis plus de 20 ans, façonnant des œuvres puissantes. Bois, fer, basalte, pierre de Volvic, serpentine… pierres brutes ou polies révèlent ainsi tout leur caractère et leur éclat.

le titre de cette nouvelle exposition est très shakespearien. Si le travail de Laurent Sarpédon est toujours sensuel dans son approche de la matière, sa démarche est aujourd’hui plus philosophique.

Dans ses nouvelles compositions d’acier et de pierre, Laurent Sarpédon étire la matière comme l’inox, affine la pierre comme le basalte, jusqu’à obtenir une finesse des éléments à la limite de la rupture. Son but ? Aller vers une plus grande légèreté où les volumes sont suspendus et semblent bouger, voler…

Interview de l'artiste

Coulisses du montage de l'expo

Découvrez les coulisses du montage et les premières images de l'expo ainsi que les impressions des visiteurs.

Making Of

Making of de l'exposition de Laurent Sarpedon, sculpteur plasticien Du 19 mai au 26 juin 2021 dans le hall René Cassin à l'Hotêl du Département.

Gourmandises en fête

Peinture de Benoit-Basset

Parfois facétieuses, souvent espiègles, les œuvres de Benoit-Basset offrent un univers ludique et festif. Elle ne peint ni paysages, ni natures mortes, mais présente des scènes de la vie sociale, que son œil d’artiste observe avec ironie, parfois avec sévérité, le plus souvent avec tendresse et amour. Les personnages de cette coloriste hors pair flottent sur un fond noir, les isolant de toute référence chronologique et géographique. L’univers baroque de Benoit-Basset peut parfois être déstabilisant. Il ne laisse jamais indifférent !

Cette exposition, initialement prévue en décembre 2020, a été reportée et installée début janvier 2021. Hélas, elle n’a pu ouvrir au public sur décisions gouvernementales liées à l'épidémie de la Covid-19.

C’est pourquoi le Département a proposé une visite virtuelle de cette superbe exposition.

Visite virtuelle privée

2020

La Terre depuis l'Espace

Photographies de Thomas Pesquet

Exposition présentée par InfiniSciences

Parmi plus de 5 000 photos prises par Thomas Pesquet lors de sa mission dans l’espace en 2017 à bord de la Station Spatiale Internationale, dix photos ont été sélectionnées pour leur intérêt scientifique spécifique, mettant en avant le réchauffement climatique ou encore l’empreinte de l’homme sur la planète Terre.

L’exposition étant conçue sous une forme circulaire, les clichés suivent le parcours de l’ISS.

Réalisée avec le concours de l’Agence Spatiale Européenne, cette exposition interactive - coproduite par le Conseil départemental du Puy-de-Dôme - poursuit sa route en France.

Pour connaître les lieux et dates d'exposition consultez le site www.laterredepuislespace.net/le-calendrier

Arborescences grandeur nature

Photographies d'Olivier Muhlhoff

Olivier Mühlhoff est souvent qualifié de « photographe impressionniste ». Par un procédé technique original, il superpose informatiquement ses multiples prises de vue pour retranscrire toute la fugacité de nos souvenirs… Tels des tableaux d’artiste peintre, 18 photographies imprimées sur des toiles de 2m. par 3m. plongent le spectateur dans un parc peuplé d’arbres colorés et poétiques.

Les peintres de l’Ecole de Murol(s)

Une exposition créée à l’occasion des 20 ans du Musée de l’École des Peintres de Murol(s). 33 tableaux d’artistes qui ont fait vivre l’École de Murol(s) entre 1910 et 1935 : l’abbé Léon Boudal, le rassembleur Victor Charreton, le chef de file Wladimir de Terlikowski qui attira de nombreux artistes étrangers, ou encore Mario Pérouse, peintre auvergnat très fidèle à cette école et bien d’autres…

2019

Roulez jeunesse

43 illustrateurs d’ici et d’ailleurs

Cette exposition témoigne de la grande richesse et de la diversité de l’illustration jeunesse. Chaque planche originale peut s’apprécier seule, comme une véritable œuvre d’art. 70 planches originales pour changer son regard sur la littérature jeunesse en général. En partenariat avec les éditeurs locaux et la Médiathèque du Cantal.

La belle histoire de la Chaîne des Puys - faille de Limagne inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco

Aquarelles d’Alain Bouldouyre

85 aquarelles de ce carnettiste nous racontent l’histoire de la Chaîne des Puys. Alain Bouldouyre s’est laissé emporter par cette inscription au patrimoine mondial de l’UNESCO, et a redécouvert ce site exceptionnel, dont il n’avait gardé qu’un souvenir d’enfance. Un ouvrage éponyme est né de sa rencontre avec Yves Michelin, professeur géographe et fin connaisseur du site.

365 : un an, un homme, un stylo, un dessin par jour

Dessins de Jacques Moiroud

Jacques Moiroud, artiste dessinateur et graveur, s’est lancé - de juin 2017 à juillet 2018 - le pari fou de dessiner chaque jour un objet différent et ce, avec une économie de moyens : un stylo-plume (une seule couleur le bleu pétrole) et une feuille (feuille blanche au format A4). Jacques Moiroud nous offre un rendu des textures époustouflant.

La Mongolie contemporaine

Photographies de Pierre Reinhard / Parc Bargoin

Cet ancien photographe de mode et de publicité, s’adonne au reportage depuis une vingtaine d’années. Quand il n’est pas à Maringues, il parcourt le monde 10 été durant, il s’est envolé pour la République de Mongolie au côté de la mission Archéologique Française en Mongolie et a exposé une vingtaine de prises de vue très significatives à ses yeux, qu’il appelle « cartes-postales mentales ».

Contact

Service Territoires et Actions Culturelles
Corinne Defabiani
Tél : 04 73 42 35 50

Direction Culture

Article mis à jour le 05 juillet 2024